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Date de création : 12.02.2016
Dernière mise à jour : 22.09.2019
99 articles


Une vérité pour une grâce de paix

,Sous les embruns nous ne sommes rien, qu'un dégat collatéral, sur le chemin d'un idéal.

Et la tempête sévit, au dehors, c'est la folie qui mort.

Au seuil des êtres voir mourir le paraitre, sous des différents, mals êtres, crés délibérément, par d'autres êtres, pour soumettre, la vie, pour un  côté moins champêtre.

l'esclavage des temps modernes  qui efface, le temps des cerises._ qui a changé la devise?

Et prier à tout rompre pour demander une grâce, au sommet des cîmes pour délivrer d'une obstination intime, quelqu'un qu'on estime, pour ne pas couronner un mal, un sens, sans  un idéal d'indulgence.

Ecoutele poète , parler de sa ligne des blés, entend ses  données,  ses mots suaves,  qu'il laisse aux gens pour  galvauder sous les charmes, d'une simplicité d'explication, avec dévouement et tendresse, comme de sincérité d'allégresse.

De grâce en grâce pouvoir jouer d'une noble face, et sourire à la vie de toute sa poésie par envie d'une paix qui chante, d'un son d'oiseau sous le ciel en ardoises.

Aller jusqu'au bout, d'un tout, pour se reprendre d'un vous, d'un moi pour ne pas se conditionner d'un mauvais effet de penser, croire, toujours en  l'humanité.

 Le bal des êtres se mène.

Ne martelons pas  un choix, une foi, en entrainant  d'autres êtres, devenus malheureux, d'être pris en otage d'une voie de garage.

Aux nuées de coeurs qui pleurent, d'avoir peur, quand on comprend le jeu des douleurs.

Pas de choix à la fête, de nouveaux bras, sous la belle casquette d'un temps, de plus, de bien des fois,  vingt six ans de printemps couchés sous les branches mortes, des automnes diffus, enfouis.

Avoir l'heure d'une offense de peur,  au coeur d'un choix, qu'on ne peut pas prendre, s'en offenser au jeu des désirs, la part d'ange qui s'installe en première, au vestiaire des coeurs, juste agir comme on doit,

pour ceux de chez soi, pour ne pas perdre la face d'une disgrâce, aux émois.

Dans un ensemble des familles, comme chez vous, les  vôtres, sont vôtre priorité, pour la beauté de votre vie, tous nous aimer.

L''amour des êtres, était là, joyeux, pompeux, charmeur, de bonheur, mais trompeur au jeu d'une tendresse, d'une venue d'ivresse.

Et se sentir impuissant, bafoué, désabusé d' être nouille de clarté, pour ne pas avoir réussi, à glisser un message sage, sous la roche des pages, pour rendre tout, plus doux d'un bon présage. 

La loi des coeurs, émouvante rancoeur, contre la loi du temps, et continuer de vivre vrai de son propre livre, d'essaie, où tout est pauvre d'un effet, puisque tout se meurt, sans la loi du coeur, pour unique objet de valeur.

Aux  essaies, un envoie, qui nous entraine à la chaine d'un monde que l'on ne reconnait pas.

L'essentiel se meurt de toutes ses belles valeurs.

Aux destructions idiotes qui traînent des pieds à  la terre sous nos pieds,  notre destinée, en deuil sans un  seuil où s'essuyer les pieds.

Dire bonjour, tenir une porte, clamer haut et fort son envie de paix, d'harmonie, au sein des angoisses de torts qui martèlent partout,  les secondes, les minutes, comme les heures, tenant les êtres sous l'eau, sans candeur à l'écho, dans un esclavage marteau. 

Sous le courroux du temps, quand on sait très bien, ne pas peser dans la balance, que d'une simple, modeste, chance, à la poste donner un message, une fleur, pour corrompre les heures, de ces envies de malheur. Et l'éccrire à la une, pour conjurer le sort, de tous ces tortueux sentiers de discorde.

Avoir peur de perdre confiance en des gens d'exellence, qui de leur grand savoir de mémoire ne devrait en aucun cas, rentrer dans des jeux d'audace, faisant front, d'une volte face de justice.

Qui! par une cadence infernale, d'un  caractère  très spécial, en place pour, faire plier, une feuille sous un chêne en deuil d'une tendresse perdue.

 De chaleureuses pensées au nom juste d'une foi d'aimer, pour vivre dans un respect immuable pour tous, auprès de la chaleur, d'un feu de cheminée retrouver la quiétude des buées. 

A genoux, mais comme encore debout, de regarder dans les yeux, ceux qui s'amusent avec la vie des autres, comme si leurs existences étaient minimes, par rapport à la leur.

L'esclavage à la porte des existences, forcé d'obéir ou de crever, dites moi que tout se corrige d'un bien fondé, celui d'exister pour ne plus déchirer, l'être pour l'être.

La bouche ouverte sur les bords d'une histoire devenue blette de ces contours d'osmose donnés par une rose au pays de son état de chose.

Pourtant! tout paraissait si promis d'un rien, pour rien, juste, si émouvant d'une simple reconnaissance celle d'être là, juste comme cela, sous ce jeu des pétales qui embaune et console, d'une douceur, sans parole.

Ecrire comme pour conscrire trop de ces intermédiaires à la fête, du coup d'une non compréhension au chou de la nature, conjurant le joli, le poète, l'homme honnête, de sa note de vie, de sagesse.

Et rajouter un mot d'amour, au  prix d'un refus, devenu maudit d'un mauvais détour, au chemin, des jolis jours anciens, laissant venir la peine, à trop tenter le diable, il finit par sortir de sa boîte, ... tout en gardant une laine d'espoir, pour voir refleurir la paix au coeur d'un lilas violet de son état fleurit.

 

Ce savoir d' aimer, sans obliger s'invite à la table des négociations, pour tous, êtres moins cons, parlons, aimons, ne nous laissons pas envahir, par ceux qui modifient le livre, sans tenir compte d'une condition de vie, de belle intention, celle d'une harmonie sous nos pinsons.

Et pourtant! la plus douce expression de pardon fleurissait au coeur d'une émotion de saison. L' estime s'offrait, comme l'on vous offre des fleurs, d'une pensée radieuse de bonheur.

Et  d'un esclave à l'autre, pour une humanité plus stable dans son royaume d'aimer de vivre en liberté, briser ses chaines d'où qu'elles viennent pour ne pas vivre à genoux, sous des coups de manoeuvres qu'on ne voient pas, d'un réseau à l'autre, d'un jeu du chat et de la souris.

Ce nouveau monde n'a pas fini de ces guerres cachées qui dans l'ombre détruiront bien des vies, mais pas vu pas pris. 

Vivre debout dans le respect de ses choix, dans un amour fou d'être ce que l'on ait, pour d'autres ou bien pour soi.

Subir n' était pas vivre, parler, encore fallait -il être écouté? au paradis sensé de nos pensées, sereines.

Dissoudre les plaies, aux peaux de nos os, comprendre les offenses,

d'un  gilet jaune à l'autre, un mal, une souffrance, au secours ma France épargne nous la violence quand tout se perd et se meurt, d'une incompréhension d'urgence.

  _ Qui sera ce fûté? assez adroit pour guérir la vie d'une beauté d'âmes, à la trame des années qui hélas! partout, se fâne, qui saura, remplir ce contrat, d'un éclat d'intelligence, pour faire apparaître la chance .

Alors! oser prendre le train en marche d'une composition fleurie. Pour s'exprimer une fois les mots revenus d'un làs-bas, il y a longtemps.

Aimer, au-delà d'avoir mal, pour garder foi en toi, qui ne croit pas en la loi, des cieux, impulsif, impétueux, d'une audace à toute  épreuve. Sûrement merveilleux? quand on a la voix, sous les cieux de toucher votre coeur.

Avoir fois en la route pour toujours enlever les doutes qui ternissent les pelouses, moins vertes du coup d'un coup de blues.

Juste comptait le jeu, un peu, d'un bienvenue à un dîner de con, et quand le con c'était vous, rire de soi de ce tout d'un coup qui vous nettoie, d'un coup de torchon, le sanglant à fond, à froid. 

Et se voir rentrer dans la vie, méprisée de sa candide philosophie, et s'amuser à son tour, puisque tout n'est qu'amour, de dire:

_ j 'ai fait l'amour avec la vie, en aimant par l'esprit. Je crois être restée une gamine pour aimer les origines de la soie, de la laine.

Dédramatiser sa bohème, qui n'en ait pas quand on aime.

vivre de poèmes, mais éviter de salir le temps, après plus de saisons, d'une vingtaine passées de semences, d'un instant immuable, si émouvant pour ses yeux, qui vivaient au jardin, sous la prose immense des cieux. C'est si bon, d'être à l'unisson, d'une éclosion de soleil, sous le pourpre vermeil d'un coucher de lumière.

La forêt embaume de son parfum de printemps, sa symbiose se pause pour poser sa chanson de ses mille variations.

S'asseoir et ne plus bouger, comme si vous étiez juste, l'arbre d'à côté.

Une magie opèrait au seuil d'une nature en éveil, lui murmurant à l'oreille d'aimer, ces merveilles.

Doucement, la magnificence des lieux accompagnait son pas, des sangliers dans leurs robes de soie, noires, passaient sur le chemin, pour ce jour, un peu blaffard, d'une caresse sans velours, au ciel gris enfoncé, dans son fard.

Un rapace donnait de son refrain, langoureux aux nuages d'un brun.

Le chevreuil pointait le bout de son nez, comme un accompagnement souhaité, tout était en place, d'une grâce de  vérité, la vie dans toute sa splendeur, sa beauté.

là, rien ni personne ne sondait sa pomme, encore, un peu de liberté, à trouver sous un moment, d'une émotion, enchanté. 

Un frisson sous les feuilles, le vent vous saluait d'un baiser.

Penser en être libre, sans méchanceté, mais s'exprimer, pour ne plus se brimer de n'avoir pas  été, simplement libre pour vous,  avancer aux contes de fées.

Rire à se rompre le cou, pour évaluer la vie, dans un tout, sortir des sentiers obtus de l'habitude, pour renaître d'une plus belle certitude, celle de ne pas regretter d'avoir, cru en chacun et le mentionner par l'écriture, un bien. mpb

mpb

 

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