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RechercherDerniers commentairessavez vous qu'il vaut mieux gêner et être sincère qu agir en douce de multiples mystères pour détruire la vie
Par Anonyme, le 17.03.2019
le doberman de part sa grande beauté, son intelligence, sa fidélité quand on le connaît comme je le connais ,
Par Anonyme, le 17.03.2019
le talent de chacun par son originalité nous confond, nous interroge, nous interpelle d un hymne à la vie mp
Par Anonyme, le 17.03.2019
merci panwrid pour ce passage, un ami de poésie cela gratifie, la vie d'une tendresse d'une pensée infinie qui
Par mppb, le 31.08.2017
bonjour
vous avez raison, les plus beaux cadeaux sont les plus simples!
il suffit souvent d'ouvrir les yeux,
Par ninette2, le 14.05.2016
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Date de création : 12.02.2016
Dernière mise à jour :
22.09.2019
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Garde toi dans l'ombre, pour offrir à la ronde des jours encore une tendresse, d'amour.
Protège ton émoi, contre ces chaleurs qui agressent les corps, regardent juste alors ! en ton coeur qui bat fort, pour enlever ces doutes monstrueux qui tordent les pensées.
Laisse aller la valse de la vie, au cirque enjoué de vouloir, juste aimer.
A la beauté d' un coeur pour enlever la peur, qui perce de ces trous, un tout, pourtant si doux.
Crois encore une fois, à la force d'une joie, celle de savoir que pour toi, tout va.
Au parterre les pensées se meurent sous ce soleil éblouissant, d'un royaume foudroyant.
Une larme d 'eau aurait eu raison, d'une sécheresse d'horizon.
Que je fusse ou non le soleil ou la pluie, je fantasme de t 'offrir une ombrelle, un parapluie, pour que se fasse l' obligeance d'une grâce, de chance, pour renaître à la vie, d'une envie.
Et qu' il pleuve ou qu'il rayonne, je suis là, pour ta pomme, personne n'oublie personne, d'une façon d'évasion, gros bisous, chez vous.
La robe du soir tombe de ce noir profond, perlée d'un vestige ancien qui couronne son chemin.
Le bruissement des ombres massives, dissimulées sous le port du temps, respire enfin,
de cette correspondance chaleur, sous ce porche discret, qui s'éteint.
Ecoute parler la nature de ces murmures, enlacés, où se cachent le soir, tant de regards allumés,
d'une histoire sans fin, sans cesse renouvelée.
Seule sous l'itinéraire des jours, la vie avance inlassablement, confus de ne pouvoir au vestibule des vents, sublimer d'une caresse, l'immensité du chant, de la sagesse, qui se ressent sous cette plénitude, au chant d'un soir perdu dans ce noir.
Un volet se ferme, une fenêtre s'allume, l'enclume du silence resplendit d'une merveilleuse éloquence, sous la nuit.
La paix s'affiche, tout se repose d'un édifice, d'osmose, puis! un chien aboie, tout le monde ne dort pas.
Un soir sur un banc, les vents vous parle d'un chant...mpb